C'est peu après notre Saint Valentin girly que je l'ai enfin rencontrée... Après l'avoir repérée maintes fois sur du papier glacé, je me suis dis qu'il était temps de la voir enfin en face et de l'essayer. J'étais évidemment bien consciente du risque, car ce dont je vous parle, c'est ça:
La bague Arty de Yves Saint Laurent. Ou l'ovni le plus désirable de la planète bijou fantaisie.
Son look irrésistiblement antique m'a tout de suite charmée. Et une fois enfilée, je me suis rendue compte, que même avec des mains lilliputiennes on peut la porter. Eh oui, car le génie de cette bague est d'avoir une pierre vers le bas et non vers le haut: le doigt n'est donc pas coupé! De quoi se la jouer Cléopâtre jusqu'au bout des ongles!
Depuis, à chaque fois que je la porte, on la commente. Il y a ceux qui connaissent et qui reconnaissent, et il y a ceux qui ne connaissent pas, mais qui apprécient, les classiques, comme les plus modernes. Mais cette bague, c'est surtout pour moi l'accessoire qui habille toute tenue un peu simple, qui crée l'intrigue dans un look attendu. Bref, l'issue de secours facile pour toute fashionista en manque de temps avant d'aller au bureau. Je n'irai pas jusqu'à dire que ce bijou me fait gagner du temps, et que c'est surtout pour son côté fonctionnel que je l'ai adopté, mais c'est véritablement devenu un indispensable de ma garde-robe.
Je l'ai choisie en miel, comme vous pouvez le voir sur la photo, car j'aimais bien le ton sur ton de la résine et du métal, qui rend la bague un peu plus accessible en termes de style. A mon goût en tout cas. Le rose pâle est aussi très chic, à tendance romantique. Bref, pour chaque couleur, une bonne raison de craquer!
Et contrairement à ce qu'on pourrait croire, l'objet reste accessible, quand on le compare à des marques moins prestigieuses type Gas, Les Néréides ou Thomas Sabo: 175€. C'est vrai que c'est une somme, mais on nous a dit qu'il fallait investir dans la pierre!
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