lundi 24 février 2014

Fashion fixette

Depuis le temps que vous nous lisez, vous aurez sans doute remarquer que la mode et la beauté occupent un temps monstrueux dans nos vies. Et cela ne va pas sans de sérieuses distorsions, voire de sérieux soucis d'achats compulsivement identiques et redondants.

Dans mon cas, il s'agit des t-shirts gris. Gris chiné de préférence. dès qu'un croise mon chemin, il est embarqué et devient automatiquement et immédiatement MON t-shirt préféré.

En voici quelques exemples:


Ce n'est pas encore 50 shades, mais ça va finir par y ressembler!

lundi 17 février 2014

Bandidas!

ou l'épineux débat sur la pilosité faciale féminine...

Cara a lancé la mode du sourcils boyish, fourni et coiffé. Celles d'entre nous qui avaient opté pour une mini toison élaguée au poil près, entretenue avec une discipline digne des jardins du château de Versailles ont frôlé le burn out. Les autres, se sont réjouies de leur regard à la Zone Interdite: en deux trois coups de pince, c'était réglé. Là dessus, une déferlante de produits cosmétiques a surgi (gels, pinceaux, pinces et autres poudres de Perlimpinpin), augmentant considérablement le temps passé en salle de bains pour obtenir la juste pilosité: dense mais pas trop, stylisée, mais rebelle.

Eh oui, car c'est bien là tout le débat! Sous couvert d'un courant trashy sexy cool, c'est en fait de nouvelles contraintes que l'on nous impose. Et des plus pernicieuses: avoir l'air cool et dans le ton, natuellement. Etre experte de sa beauté et de son look sans paraître y avoir jamais touché.

Après le cheveux surfy wavy, dompté et froissé à grands renforts de shampoing sec, le sourcil boyish, que nous réserve la tendance? On voit déjà réapparaître le débat de l'épilation bikini, à quand l'avènement de la femme à barbe? 

Un look bandidas, où la moustache serait glamour. Un retour au XIXè siècle, où une ombre au-dessus des lèvres trahissait une sensualité des plus développées...

STOP! Laissez-nous nos souffrances dépilatoires! Celles qui font monter les larmes aux yeux et le rouge au visage, mais qui nous laissent aussi un peu plus sûres de nous. En tant que brune avertie, je préfère devoir me soumettre aux bandelettes de cire une fois par mois. Peu de choses me font me sentir plus mal à l'aise que de me demander si la fameuse ombre n'a pas fait son apparition au-dessus de mon sourire. Les jeux avec la lumière, c'est bien pour les séances photo, moins pour un verre en terrasse...

Bref, je vais ce que je veux avec mes problèmes pileux!